
SOUS LA COUETTE: ““Mon dos heurte un tronc d’arbre épais lorsqu’il me soulève””

Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Mélanie, 26 ans, parle de son fantasme d’une expérience entièrement centrée autour d’elle.
Mélanie, 26 ans, a un petit ami qui est complètement fou d’elle.
Elle s’enflamme... pour la fièvre du printemps.
Elle rêve parfois... d’une expérience amoureuse qui tourne entièrement autour d’elle.
« Oh mon Dieu, c’est paradisiaque », dis-je à haute voix, les bras en l’air en faisant une pirouette. Le soleil caresse ma peau avec ses rayons chauds, une brise parcourt mes jambes nues et l’air sent la terre et les fleurs. Après des mois passés à l’intérieur, au milieu du froid et de la pluie, c’est le premier jour où l’on a vraiment l’impression d’être au printemps. Mon petit ami et moi marchons le long de l’étroit sentier. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas sentie aussi pleine d’énergie, comme si je venais de me réveiller d’une longue sieste hivernale, mais ce n’est pas tout... La chaleur, le fait d’être dehors, sa main posée juste un peu plus bas qu’elle ne le devrait sur mon dos – tout cela me fait quelque chose. Lorsque nous atteignons un étang isolé, caché parmi les arbres, il n’y a personne autour de nous. Les seuls sons que j’entends sont ceux de la nature et son doux bourdonnement.
Je me tourne vers lui. « Quel temps! Il faut en profiter... », lui dis-je. Il hausse un sourcil. Je souris et je m’amuse à relever un peu ma jupe. Son regard change immédiatement, et ses yeux glissent désormais le long de mon corps. Avant que je puisse en dire plus, il m’attrape par la taille et m’attire contre lui. Nos lèvres s’entrechoquent. Je trouve immédiatement le bord de sa chemise et la relève. Sa peau est chaude. Lentement, je passe mes doigts sur son torse. Mon dos heurte un tronc d’arbre épais lorsqu’il me soulève. Je resserre mes jambes autour de lui. Ses mains saisissent mes fesses, sa bouche glisse jusqu’à mon cou. Je soupire de manière sexy lorsqu’il pince ses lèvres et commence à suçoter doucement ma peau. Juste assez fort pour me faire frissonner.
Dès que je suis à nouveau debout, je le pousse en arrière jusqu’à ce qu’il tombe dans l’herbe et je grimpe sur lui. Mes doigts tirent sur sa ceinture et, en quelques secondes, j’ouvre son pantalon. Il est déjà dur. Je le sais parce que son érection repousse le tissu de son caleçon. Il soulève ma jupe, écarte ma culotte et laisse ses doigts glisser sur mes lèvres.
« Mmm, tu es déjà mouillée », murmure-t-il.
Je gémis lorsqu’il introduit lentement un doigt à l’intérieur de moi. Mes ongles s’agrippent au sol à côté de lui. Lentement et de façon joueuse, il fait monter et descendre son doigt, tandis que son pouce dessine de petits cercles sur mon clitoris. Mes hanches suivent son rythme, ma respiration s’accélère, je ne peux plus tenir. J’attrape son poignet, je retire sa main et je l’observe avec un regard de braise. J’exige: « Maintenant! », et je n’ai pas besoin de le répéter. Il baisse encore son pantalon, prend ma main et la guide jusqu’à son sexe, je le sens trembler d’excitation. Je caresse le bout de son sexe le long du mien, juste assez longtemps pour nous rendre tous les 2 fous, puis je me baisse lentement sur lui.
Je laisse échapper un « Oh oui! » en sentant la première poussée profonde faire vibrer tout mon corps. Je place mes mains sur son torse et commence à le chevaucher, mes hanches bougeant sur lui. L’air est plus chaud, ma peau est collante et son sexe dur comme du bois est si bon lorsqu’il s’enfonce de plus en plus profondément en moi. Ses doigts s’agrippent fermement à ma peau et il prend le rythme. Il me pousse de haut en bas, plus fort, et plus nous faisons l’amour, plus je gémis fort. L’étang, les oiseaux, les arbres – tout ce qui nous entoure s’estompe. Tout ce que je remarque, c’est que je me rapproche de plus en plus de l’orgasme.
« Oui! Encore! Encore! »
Mon dos se creuse, mes ongles griffent sa peau et je sens mes orteils se recroqueviller dans mes bottines. Tout mon corps est secoué, mes muscles se contractent et c’est l’explosion. Mes gémissements résonnent encore sur l’eau, alors que je m’abaisse épuisée contre son torse. Il ne jouira pas aujourd’hui, mais il s’en fiche. Et c’est le printemps. Qu’est-ce qu’un homme peut vouloir de plus?
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