SOUS LA COUETTE: ““Ses mains sont partout, ses lèvres explorent chaque partie de mon corps””
Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Qui sait, ça pourrait vous donner des idées...
Marie (32) vit avec son petit ami depuis 7 ans
Elle s’enflamme pour: « son torse musclé. »
Elle rêve parfois de: « sexe sur le sol de la cuisine. »
Je préchauffe le gaufrier et commence déjà à saliver en sentant l’odeur de la pâte. Mon copain est derrière moi, tenant le grand bol dans ses mains. « D’accord, et maintenant? » me demande-t-il en me tendant le bol. Je me retourne et souris. « Simplement verser une louche de pâte dans l’appareil », dis-je en faisant un pas vers lui pour l’aider. Mes doigts effleurent les siens quand je prends le bol. Même après toutes ces années, j’ai toujours des papillons dans le ventre.
Il verse la pâte dans l’appareil, mais bien sûr, une goutte s’échappe et atterrit sur le plan de travail. Je plaisante en attrapant un chiffon. Mais avant que je puisse faire quoi que ce soit, mon copain ramasse la goutte avec son index et la place contre ma bouche. Je reste perplexe un instant, puis je réagis en prenant le bout de son doigt entre mes lèvres et en le suçant. Le gaufrier siffle et, comme si cela avait provoqué une onde de choc dans la cuisine, on commence à s’embrasser.
Il écarte le bol de pâte qui se tient entre nous, et ses mains m’attrapent dans le dos pour me rapprocher de lui. Mes mains se dirigent vers son torse.
« Les gaufres... » lui dis-je, tremblotante. Il secoue la tête, et continue de m’embrasser, cette fois avec encore plus de fougue. Sa langue rencontre la mienne et je sens la chaleur monter en moi. Il me soulève et me pousse contre le comptoir de la cuisine. Le ronronnement du gaufrier me semble soudain à des kilomètres de là.
Il trouve trouve le bord de ma chemise et, d’un geste rapide, la tire par-dessus ma tête. L’air frais de la cuisine caresse ma peau, mais ses mains savent comment me réchauffer.
« Tu es encore plus délicieuse que les gaufres »
murmure-t-il en laissant ses yeux glisser le long de mon corps. Il appuie ses lèvres sur mon cou et descend encore plus bas. Chaque baiser me procure un picotement et ma respiration devient plus lourde et plus rapide. J’attrape le bord de son pantalon et attire son entrejambe fermement contre moi.
Il me soulève à nouveau et m’allonge doucement sur le sol de la cuisine. La chaleur du chauffage par le sol est un bonheur pour ma peau. Ses mains sont partout sur moi et ses lèvres explorent chaque partie de mon corps. Il retire mon pantalon, laissant ses doigts glisser le long de mes jambes et me faisant frissonner de plaisir.
À mon tour, j’enlève sa chemise et je passe mes mains sur son torse musclé. Je le sens qui se contracte à mon toucher. Je m’excite moi-même en enfonçant mes ongles dans sa peau, ce qui le fait gémir doucement. Il pose ses mains sur mes hanches, embrasse et lèche mon ventre. Je manque d’exploser de désir.
Lorsqu’il s’enfonce enfin en moi et que son souffle chaud touche mon sexe, je pousse un profond soupir. Sa langue me touche exactement là où je le veux, et j’attrape ses cheveux pendant qu’il continue son travail. Tout mon corps picote, et j’ai du mal à contenir cette vague de plaisir.
Je le relève rapidement avant qu’il ne soit trop tard, je le regarde dans les yeux et je le supplie d’un seul regard de venir en moi. Il répond immédiatement. Son sexe dur comme le roc glisse profondément en moi en deux coups de rein, me remplissant de plaisir. Tout mon corps s’abandonne à lui. Nous ondulons ensemble, et c’est si bon que je ne prête même plus attention à la dureté du carrelage.
On baise, on ne peut pas appeler ça autrement. Mes ongles laissent des marques rouges sur son dos. Et puis, quand j’ai atteint l’orgasme, tout mon corps tremble. Peu après, il jouit à son tour, et son sperme jaillit en moi. Pendant un moment, nous restons allongés, haletants, jusqu’à ce que le brouillard se dissipe dans ma tête et que je me rende compte que c’est en fait la fumée qui envahit lentement la cuisine. Je crie: « Les gaufres! » mais tout ce que nous pouvons faire, c’est rire. Incroyable!
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