La semaine dernière, on annonçait que Blake Lively portait plainte contre Justin Baldoni, son partenaire à l’écran dans le film “Jamais Plus”. On a appris hier qu’il avait, lui aussi, porté plainte contre l’actrice, ainsi que contre le “New York Times”.
“Jamais Plus”, le film adapté du roman de Colleen Hoover, est sorti l’été passé et a fait un carton. À l’affiche, les deux acteurs Blake Lively et Justin Baldoni. Mais alors qu’on les pensait en bons termes, tout a basculé en cette fin d’année. Le 21 décembre 2024, l’actrice portait plainte contre Justin Baldoni pour harcèlement sexuel sur le tournage, et contre Jamey Heath, le producteur du film, pour avoir mener une campagne publique de dénigrement à son encontre. Suite à ces allégations, l’acteur a été lâché par son agence WME. Il a répondu à cette plainte, en en posant une à son tour.
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Justin Baldoni porte plainte à son tour
L’acteur porte, lui aussi, deux plaintes distinctes. Contre Blake Lively, tout d’abord, mais aussi contre le New York Times, pour 250 millions de dollars. Il accuse lui aussi l’actrice d’avoir mené une campagne de dénigrement “stratégique et manipulatrice” et d’avoir utilisé de “fausses allégations de harcèlement sexuel pour obtenir un contrôle unilatéral sur tous les aspects de la production”.
La seconde plainte est déposée par l’acteur, ainsi qu’un groupe de plaignants, dont le producteur Jamey Heath. Ils poursuivent le New York Times pour diffamation et atteinte à la vie privée. En effet, le journal avait relayé la plainte de Blake Lively dans un article intitulé : “We Can Bury Anyone”: Inside a Hollywood Smear Machine” (“On peut enterrer n’importe qui: les dessous d’une machine de diffamation hollywoodienne”).
Les plaignants accusent le journal d’avoir manqué d’intégrité journalistique, en s’appuyant “presque entièrement sur le récit non vérifié et intéressé de Lively”. Selon eux, le Times a utilisé “des échanges modifiés, dépouillés de contexte et délibérément coupés pour induire en erreur”. L’acteur montre notamment certains échanges de textos qui n’iraient pas dans le sens du discours de l’actrice.
Enfin, Baldoni prétent aussi que Ryan Reynolds, le mari de l’actrice, faisait pression auprès de l’agence de Baldoni pour qu’il soit viré. Une accusation nié par un représentant de l’agence. De son côté, le New York Times défend son article rédigé “de manière méticuleuse et responsable” et déclare avoir l’intention de se défendre “vigoureusement” contre cette action en justice.
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