8 arnaques de la vie d’adulte qu’on n’avait pas vues venir
Être adulte, du haut de nos douze ans, ça nous avait l’air TROP.BIEN. On pourrait faire tout ce qu’on voudrait, porter les vêtements qui nous plaisaient sans personne pour nous dire de couvrir notre nombril ET aller dormir à n’importe quelle heure. Le bonheur. Sauf qu’il y a quelques arnaques qu’on n’avait pas anticipées et dont on se serait bien passées...
1. Il faut tout le temps payer
Les factures sont la preuve que la magie (noire) existe: on n’a pas plus tôt fini d’en payer une qu’une autre apparaît. Elles sont également dotées d’un 6e sens, les grosses factures imprévues ayant le don d’apparaître pile quant on est en train de planifier nos prochaines vacances.
2. Et en fait, 1000 euros, ce n’est pas vraiment dingo
Quand on était ado, 1000 euros, ça nous semblait être une richesse incroyable, et on ne pouvait même pas s’imaginer ce qu’on ferait si on avait un tel montant en main. Aujourd’hui, on sait: on l’a à peine reçu qu’il a disparu dans notre loyer, assurances et autres réjouissances. Et on se retrouve comme à 15 ans, avec 50 euros en poche à faire durer le plus longtemps possible sous peine de faillite.
3. Chaque fête a des effets de longue durée
Bonus: si on veut aller se coucher à 5h après avoir bu des cocktails toute la nuit, il n’y a plus personne pour nous l’interdire.
Malus: chaque gueule de bois dure un milliard d’années. Ou du moins 48 heures, mais ça fait le même effet.
4. Et c’est pareil pour le moindre excès
Fût un temps où on pouvait s’envoyer un Snickers tranquille, l’arroser d’un verre de Coca et avoir encore assez d’appétit pour manger des frites le soir. Désormais, il nous suffit de regarder une tranche de saucisson pour prendre 2 centimètres de tour de hanche, et franchement, ça nous coupe un peu l’appétit.
5. Il n’y a pas que nos seins qui ont poussé
Toutes occupées qu’on était à se réjouir de dépasser le bonnet A, on n’a pas catché que nos poils s’étaient mis à pousser aussi. Et ils ont un peu la même magie que les factures: on a à peine fini de les épiler qu’il faut déjà rectifier. Merci, sympa mère nature.
6. On ne peut plus compter que sur nous-même
Fini l’époque bénie où chaque souci pouvait se régler à l’aide d’un “mamaaaaaaaaan” sonore. Désormais, même si elle compatit toujours autant à vos problèmes, il est acquis que vous vous en tirez toute seule comme une grande, surtout s’il s’agit de retrouver un objet égaré. Pire: peut-être qu’aujourd’hui, c’est à vous que quelqu’un crie “maman”.
7. Les ruptures font beaucoup plus mal
En humanités, un chagrin d’amour ne durait jamais que jusqu’à la prochaine fête et la découverte que Mathieu de 5B embrassait trop bien malgré son appareil. Désormais, outre notre mec, on perd tous les projets qu’on avait fait avec, voire même, on est forcée de déménager. L’enfer.
8. On est condamnées à devenir has-been
Soudain, c’est nous qui sommes dérangées après 22H par le bruit des voisins, et on ne comprend pas de quoi on nous parle quand on nous demande “quels sont les bails” parce que éo, on n’est pas notaire, et en plus, bail ça se dit “baux” au pluriel. Il ne manque plus qu’on craque pour une paire de Crocs “parce que c’est quand même confortable”, et ça y est, on sera officiellement celle qu’on était certaine de ne jamais devenir.
Et pourtant, quand même, on est contentes. Parce que non, contrairement à ce que “30 ans sinon rien” nous a fait croire, on ne s’est peut-être pas réveillées un jour avec un appart’ de fou à New-York ET une romance trop choupi avec Mark Ruffalo. Mais on y travaille. Et entre temps, on mène notre propre barque, comme bon nous semble, et même si on prend un peu l’eau parfois, on parvient toujours à éviter la noyade.
Lire aussi:
“Où est le sextoy”, la version pour adultes de “où est Charlie”
Ces phrases qu’on dit toutes à partir de 30 ans
Pamela Anderson révèle sa peur de vieillir dans un film touchant
Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici