Si vous portez ce prénom, vous avez plus de chance d’atteindre 110 ans
Selon les statistiques, les personnes portant ces prénoms bien spécifiques ont le plus de chance d’atteindre 110 ans, et de ce fait, d’entrer dans le club très fermé des supercentenaires.
Au fil des années, le nombre de centenaires n’a cessé d’augmenter, rendant presque banal le fait d’atteindre l’âge de cent ans. À titre d’exemple, selon les chiffres de Statbel, en 2014, on comptait 1.890 centenaires dans notre pays (avec 1.651 femmes contre 239 hommes), tandis qu’au début de l’année 2024, on en comptait déjà 2.928 (2.423 femmes pour 505 hommes).
Bien qu’on constate également une augmentation, les supercentenaires, ces personnes ayant atteint ou dépassé l’âge de 110 ans, font encore partie d’un cercle très restreint. Un club dont les membres sont presque exclusivement des femmes. La personne ayant vécu le plus longtemps n’est autre que Jeanne Calment, qui s’est éteinte le 4 août 1997 à l’âge de 122 ans. L’actuelle doyenne de l’humanité est une Japonaise du nom de Tomiko Itooka (116 ans), qui succède à l’Espagnole María Branyas Morera, décédée le 9 août dernier à l’âge de 117 ans.
Ces personnes ont le plus de chance d’atteindre 110 ans
On l’a vu, les femmes ont statistiquement plus de chance d’atteindre l’âge de 110 ans, et il semblerait que certaines, portant un prénom bien spécifique, ont encore plus de chance de devenir supercentenaires. L’organisme américain Gerontology Research Group s’est penché sur les données de ces personnes vivant ou ayant vécu au-delà 109 ans, et a établi le classement des prénoms dont les porteuses étaient les plus susceptibles de devenir supercentenaires.
Avec 70 occurrences, c’est le prénom Mary qui décroche la palme des personnes ayant vécu le plus longtemps, suivi de près par Maria (61). Arrivent ensuite Anna (40), Margaret et Marie (25). Comme le souligne Ouest-France, ce classement doit toutefois être pris avec des pincettes. En effet, il ne se base que sur les déclarations des familles de ces supercentenaires, et non sur les données statistiques officielles, dont très peu de pays disposent.
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