TÉMOIGNAGE: ““On est meilleures amies depuis la naissance””
L’amitié spéciale qui unit Margot, 33 ans, et Sarah, 32 ans, a commencé dès le berceau et semble éternelle.
Margot: « À l’âge de 3 mois, je me suis retrouvée chez Mami, la plus merveilleuse des accueillantes. 6 mois plus tard, elle a accueilli un nouveau bébé: Sarah. »
Sarah: « Margot et moi nous connaissons donc depuis le berceau et sommes inséparables depuis les premiers mois de notre vie. Apparemment, nous avons rampé l’une vers l’autre lorsque nous étions bébés. Nous n’en avons aucun souvenir, mais les photos le prouvent! (rires) Par la suite, nous avons fréquenté la même école, le même mouvement de jeunesse et la même équipe de volley-ball. »
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Margot: « Le volley-ball n’était pas mon truc, mais j’ai suivi Sarah partout où elle allait. C’est tout naturellement que nous avons choisi la même école, jusqu’au moment terrible où elle a opté pour l’option Science-sports et moi Sciences humaines. Nous étions dans une grande école, mais nous nous cherchions à chaque récré. »
Sarah: « Parfois, quand on se retrouvait enfin, la pause était terminée, mais nous faisions tout pour encore passer un peu de temps en compagnie de l’autre. »
Nous avons partagé toute notre vie et nous avons encore tant de choses à partager.
Margot: « Nous avons franchi toutes les étapes ensemble, jusqu’à ce que Sarah parte faire un stage à l’étranger lors de ses études supérieur. Je l’ai assez mal vécu durant un temps. »
Même si la mort nous sépare
Sarah: « Ça peut sembler dingue, mais il n’y a rien que je ne ferais pas pour Margot. Le lien qui m’unit à elle est sans limite. On espère retrouver ça dans une relation de couple aussi! Avec Margot, c’est inconditionnel! Je ne voudrais jamais avoir un meurtre sur la conscience, mais pour Margot, je ferais une exception. »
Margot: « Je ferais n’importe quoi pour Sarah. Si elle a besoin d’un rein demain, je me porterai de suite candidate. »
Sarah :« Tout ce que je peux donner en organes ou en membres est pour Margot, même si je ne peux pas le donner. C’est une évidence. »
Margot: « Maintenant que nous sommes adultes, nous ne nous voyons plus 5 fois par semaine, mais nous faisons de notre mieux pour ne pas nous manquer trop longtemps. On se voit une fois par semaine. Si, contre toute attente, on n’arrive pas à se voir, on prend le temps de s’appeler. Notre amitié est éternelle. Il ne peut en être autrement. Nous avons passé toute notre vie ensemble et nous avons encore tant de choses à partager. Je ne pourrais pas vivre sans elle. »
Je ne voudrais jamais avoir un meurtre sur la conscience, mais pour Margot, je ferais une exception.
Sarah: « Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi unique que Margot, qui a un si grand cœur et une âme aussi pure. J’écris parfois des poèmes sur ce que serait ma vie si elle n’était plus là, mais ça me fait mal. Je préfère écrire sur la gratitude que j’éprouve à son égard et sur le lien extraordinaire qui nous unit. Margot et Sarah, c’est pour toujours, même si la mort nous sépare! »
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